Une consommation excessive

Notre belle planète

La terre est un bijou de l’espace, qui s’est formé il y a environ 4.5 milliard d’années. Composée à 70% d’océans, de plaques terrestres, de différentes sources d’eau potable et d’un noyau en son centre, elle a accueilli ses premiers êtres vivants il y a à peine un milliard d’années. Aujourd’hui, nous, les êtres humains, sommes en train de la tuer. Ces dernières années ont été les pires exemple alors que nous nous complaisions dans notre confort et refusions de voir ce qui arrivait à grands pas. Et c’est ainsi que plus de 60% des milieux naturels ont été gravement endommagés catastrophe et que plus de 70% de ces derniers ont été exploités de façon excessive. C’est ce que nous appelons la surexploitation et celle ci ne cesse de s’accélérer, jusqu’à ce que, aujourd’hui, nous dépassions notre quota le 2 août. Nous demandons toujours et encore plus à la terre et cela ne lui laisse pas le temps de renouveler ces ressources. Nous sommes donc en dette et celle ci ne fera qu’augmenter avec le temps, jusqu’au jour où ne nous pourrons plus rien lui demander.

Un égocentrisme évident

Il saute aux yeux que cette consommation excessive pourrait être évitée. Certes, les êtres humains sont de plus en plus nombreux donc il est logique de penser que nous avons besoin de plus de ressources qu’il a un siècle, mais en regardant de plus près les chiffres qui nous sont donnés par le gouvernement, nous nous apercevons de l’écart entre les continents et entre les pays pauvres et riches. Ces chiffres nous révèlent ainsi que les pays riches consomment 10 fois plus de ressources que les pays pauvres. Pourtant, certains de ces pays ont plus d’habitants que nous, prouvant ainsi que notre consommation relève purement et simplement de notre cupidité. Si nous prenons en exemple la France, qui est l’un des rares pays à pouvoir survivre avec ce qu’elle produit. Mais nous importons et exportons tellement que la France fait partie des 10 premiers pays à avoir excédé les ressources naturelles fournies par la terre. Si tout le monde vivait comme nous, il faudrait trois autres terres pour survivre !